mercredi 13 février 2013

La sotte analyste

Pour un de mes cours j'ai dû demander à ma petite nièce de me dessiner ce que c'était pour elle la guerre et l'amitié.

L'esprit de Freud s'est alors emparé de moi ....

Il est évident qu'au travers de cette scène de guerre l'enfant a souhaité représenter, si ce n'est le viol, la pénétration du corps phallique de la figure paternelle dirigée sur son corps.
Ce que certains pourraient voir comme un canon et son boulet n'est autre qu'un péni(s) et son testicule. On remarque également le fluide jaillissant du péni(s) allant clairement en direction du personnage couché, ensanglanté (certainement le reflet de la peur de la puberté).
Debout, tel un épouvantail, la figure paternelle ridiculisée portant un cornet de frites à la main et une marguerite. Il est également tacheté pour lui donner un air malade.


Ici, ce que certains verraient comme deux amies se donnant la main pour jouer à la corde à sauter n'est autre qu'une scène sado-maso, en effet le personnage de droite tire celui de gauche avec une corde, et l'entraîne vers le fouet qui comporte certainement des boules en métal très douloureuses. Il est évident que le sourire jouissif du 2e personnage n'est autre que celui de l'enfant lors de partouses du mercredi après-midi, qu'il déclare comme "goûter".

AHHAHAHAHAHA!

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